Naturellement, un nom de domaine du vin doit être ouvert à tous. Tout un chacun peut faire partie de la communauté du vin sur Internet. En revanche, les marques, les institutions (oiv, napavalley, inao...), AOC, et autres indications géographiques doivent pouvoir se protéger en amont. Les périodes de «Sunrise» sont en elles mêmes une solution mais les récents lancements de nouveaux noms de domaine ont montré que celles-ci peuvent être coûteuses. Il existe d'autres solutions :
- Bloquer les domaines des codes ISO correspondants aux AOP et autres indications géographiques. Seules les demandes des AOP sont alors acceptées par le registre et au tarif pratiqué par le Registrar (prestataire de service pour les noms de domaine ou bureau d'enregistrement accrédité). Par exemple : www.bordeaux.vin est réservé au CIVB sauf s'il ne souhaite pas enregistrer ce nom. Dans ce cas, il est placé dans une liste spéciale, et destiné à être proposé ultérieurement.
- Bloquer ces noms et les proposer à un tarif plus élevé, pour éviter la spéculation et l'usurpation d'identité.
- Autoriser les titulaires d'un nom de domaine déjà existant à enregistrer leur .VIN en priorité, si leur site - portant le même nom - est déjà actif.