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Wednesday, November 19, 2014

Everyone can participate in ICANN decisions ? Come on...

I participated in the French RINDD today in Paris: RINDD stands for "Rencontres Internationales des Noms de Domaine". The translation would be "The International Domain Name Conference". This event is organized once a year by SafeBrands, an International French Registrar. Many participants were there: the ICANN, Law Firms, Donuts, other new gTLD applicants, back-end Registries and many experts of all kinds...

Round Tables and debates
There were round tables on several subjects and it was particularly appreciated to hear Donuts, applicant for hundreds of new gTLDs, to answer questions in French, and sometimes, direct ones. I was kind enough not to ask publicly how much they paid for the .WINE new gTLD.

If I am always interested in hearing participants like Mathieu Weill and listen to his figures about the new gTLD market, the potential of new gTLDs, his open questions on the possible success and failures of new gTLD initiatives, new business models...there is one subject which really pisses me off, it is when I hear someone say that "everybody can participate in ICANN decisions". 

"Everybody can participate in ICANN decisions"
I have the chance to belong to one of the ICANN group named the NCUC, which has a "real voting power in ICANN’s policy making and Board selection, the NCUC develops and supports positions that favor noncommercial communication and activity on the Internet". NCUC stands for "Noncommercial Users Constituency": a group anyone can join to represent ... non-commercial end users (the only "real" end users to me).
I joined that group because I believed it could block things like Plural and Singular domain name extensions to coexist. I admit I failed in participating enough to block this from happening: domain names ending in .hotel and .hotels (with an "s") will always be confusing for end users.

No: you can't participate in ICANN decisions
...but you can try...

A good example to give is this letter sent by the ICANN CEO to French Ministry Axelle Lemaire regarding protecting wine Geographical Indications and which says: "The parties involved are now working on devising a mechanism which would offer protections to a reserved list of names, which would be contractually protected through ICANN’s registry agreement".

Come on...you're not going to talk about Project dotVinum again?
We tried to "participate" in ICANN decisions in April 2013 the 3rd, providing solutions to protect wine Geographical Indications. We wrote to ICANN, who published our letter, and its subject was "Hints and Solution for the Protection of Wine Geographical Indications in the ICANN New gTLD Program". Guess what we offered as a solution in this letter: we offered to protect lists of names...

So what?
Not only ICANN never answered us, which probably shows that we are not as honorable as Axelle Lemaire, but we are pretty much surprised that it is our solution that the ICANN CEO now uses as one to unlock the situation for both .WINE and .VIN new gTLDs.

It is a pity that so many years were wasted and that ICANN never called us: Project dotVinum for wine Registries was launched in 2011, introduced to the French Ministère de l'Agriculture and a few of other wine institutions.
We also find funny that the Law Firm in charge of "finding solutions" has come to that conclusion and we are happy to have "shown the way".

So, can you participate in ICANN decisions? Check by yourself. Note that we are not naive neither...we know how it works...and on .WINE, it works behind the scene: end users are not welcome to play.

More coming on ethic? ;-)

Thursday, October 10, 2013

Nouveaux gTLDs: les RINDD, dossiers .WINE & .VIN (en Français)

J'étais aux RINDD ce matin, une conférence sur les noms de domaine et les nouveaux gTLDs, à ne pas manquer à mon sens. Il est dommage que ce ne soit qu'une fois par an.
RINDD veut dire: "Rencontres Internationales des Noms De Domaine", un équivalent du très couru "gTLD Strategy Congress" mais en France et...en Français.

Alors qu'il n'existe plus vraiment de "Registrar Corporate" en France qui sache répondre, en Français, à des clients très haut de gamme mais aussi à des clients de type TPE et "grand public", il semble que Mailclub soit en train de se faire un nom car certains détails ne mentaient pas ce matin: Mailclub à déjà un certain nombres de candidatures "nouvelles extensions" à son actif, la salle était comble avec plus de 150 personnes présentes au Rendez-vous, des intervenants de très gros calibre avaient fait le déplacement, l'ICANN, le GAC et le déjà très célèbre Bart Lieben étaient là, des représentants de candidatures de type "marque" mais aussi "génériques" et "communautaires" intervenaient et écoutaient. J'ai même noté la présence d'un bureau d'enregistrement accrédité concurrent :-)

Questions sur le .VIN
Le .VIN, est un débat qui a occupé plus de place que prévu, au grand malheur de son modérateur Frédéric Guillemaut, membre de l'Afnic et Directeur Associé de Mailclub ("Timing oblige"). Alors que l'ICANN était là, en la présence de Andrea Beccalli (Stakeholder Engagement Manager) ainsi que le représentant Français du GAC, le débat ne pouvait que s'installer naturellement sur la question des deux dossiers .WINE et .VIN. J'y ai appris, qu'à ce jour, et alors que le Board de l'ICANN vient de déléguer au mois de Novembre sa décision sur le suivi des deux candidatures, qu'aucun candidat n'a fait de proposition.

J'ai pu, par la suite, discuter une dizaine de minutes avec Andrea de l'ICANN et notre représentant Français du GAC. Un échange bref mais intéressant et qui a confirmé deux de mes craintes: j'ai bien peur que l'on n'y croit plus vraiment à ces deux candidatures - et la lecture de ce type de ce document n'arrange pas les choses - mais pire encore, si aucune solution n'a été mise en avant de la part des candidats, ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de solution, mais parce que l'on n'échange pas assez. C'est le procédé qui fait barrage, pas la volonté de trouver des solutions. Et bien que je ne peux pas tout dire sur ces dossiers, soyez assuré que c'est une question que je suis de près.

Les porteurs de projets: un débat "vrai"
J'ai été particulièrement intéressé par le débat ouvert avec les porteurs de projets du .BIO, du .MED, du .BZH, du .BNPPARIBAS et du .PARIS.

Le représentant du .BIO, Godefroy Jordan, m'a impressionné par sa vision moderne de l'avenir des nouveaux gTLDs: un visionnaire pur et dur qui nous a presque donné la leçon. Chiffres à l'appui et plein d'idées, celui-ci n'a pas hésité - micro en main - à moucher le représentant d'une grande marque en lui expliquant les raisons pour lesquelles il n'était pas d'accord avec lui sur la question du succès du programme des nouveaux gTLDs. En effet, les nouveaux gTLDs sont une opportunité de se débarrasser de noms de domaine insignifiants et inutiles pour faire des choix de nouveaux noms de domaine, mais en quantités inférieures, qui correspondent à une activité. A la question: "que faire si, finalement, les nouveaux gTLDs ne font pas l'effet escompté et que les titulaires de noms de domaine se contente d'en sécuriser certains pour en faire des redirections vers leur .COM?", la réponse tombe aussi sous mon sens et voici une réponse équivalente à celle de Godefroy: c'est une occasion de faire le ménage et de se débarrasser des inutiles .INFO et .MOBI que l'on a sécurisé "au cas où".

J'ai aussi écouté attentivement Raphaëlle Laubie, du .MED pour les professionnels de la santé, dont la conviction m'a surpris. Les candidats au .MED ne sont pas des nouveaux venus dans le monde des extensions Internet, leur candidature Communautaire bénéficie de très nombreux supports mais aussi d'un réseau impressionnant de sites Internet qui leur appartiennent et de millions de membres qui adhèrent déjà à la communauté de la médecine: des patients qui ont besoin d'un espace de confiance sur Internet, et non d'un Far-West tel que celui proposé par le .COM.

Le représentant du .PARIS nous a "vendu sa sauce". J'avais moi même tenté de décrypter leur formulaire pour devenir "Pionnier" du .PARIS mais j'ai bien noté qu'il n'a pas souhaité annoncer le coût du ticket d'entrée à l'audience de ce matin. A 50 000 € minimum, je trouve très regrettable que la ville donne le privilège d'être l'un des premiers utilisateurs de ces noms de domaine à un prix aussi prohibitif. Que l'on ne me dise plus que la ville ne veut pas gagner de l'argent avec le .PARIS car si la mairie trouve ses 100 candidats, cela représente un minimum de 5 millions d'Euros. Qu'il soit dit que ce coût exorbitant permet à la ville de rentrer dans ses frais est un discours que je comprends, l'autre bla-bla pour vendre un programme Pionnier est un discours pompeux qui me fait sourire.
Je reçois aussi très bien le discours du tarif élevé des nouveaux noms de domaine et je le valide car de nouveaux .COM et .NET sont précisément ce à quoi il faut éviter d'aboutir. Un prix légèrement plus élevé qu'un .COM permet de crédibiliser une extension.

J'aime beaucoup le .BZH (Bretagne) qui s'est basé sur le modèle du .CAT (Catalogne) et alors que je n'y croyais pas du tout jusqu'en 2011, mais alors pas-du-tout, j'adore depuis cette petite extension très représentative et qui concerne une population très localisée. Le discours de l'intervenant était riche de sens et je pense que l'on peut s'attendre à une extension qui devrait surprendre car si l'on fait le calcul: on parle aussi du .BZH depuis très longtemps et il n'y a pas meilleure communication pour une nouvelle extension...regardez le .VIN ;-)

J'ai écouté le .BNPPARIBAS d'un oeil. Il s'agit d'une marque mais aussi d'une banque dont le discours était orienté sur le bénéfice aux clients et la sécurité. Je connais bien ces arguments: je les écrivais en 2009 pour d'anciens clients.

Présentation des RINDD: http://www.mailclub.fr/domaines/rindd/

.BRAND new gTLD Reports are updated once a month.

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Cick here !